Les symptômes prennent des formes diverses et voici, ci-dessous, une liste de troubles fréquemment nommé mais non exhaustive de la forme que peut revêtir un symptôme :
Troubles obsessionnelles compulsifs ou TOC comme il est souvent dit.
Trouble de l’humeur, la dépression en faisant partie.
Troubles du sommeil.
Troubles de la sexualité.
Troubles des conduites alimentaires, comme l’anorexie et la boulimie par exemple.
Troubles des apprentissages, troubles cognitifs.
Troubles du langage.
Isolement.
Addiction, problème de dépendance.
Symptômes corporels ou organiques.
Dans le cas de pathologie organique, il est important d’être suivi par un médecin, car il y a lésion au niveau organique. Dans la dynamique de la clinique du partenariat, tel qu’élaborée au sein de l’association RPH – école de psychanalyse -, travailler de concert avec le corps médical permet, en parallèle des soins prodigués par les médecins, de faire une psychothérapie ou une psychanalyse.
Le symptôme est le signe, le signal d’alerte pour dire à un être qu’il est temps de prendre soin de lui. C’est parfois ce qui conduit quelqu’un à appeler un psychothérapeute ou un psychanalyste.
Mais un symptôme ne peut s’entendre qu’en terme dynamique, c’est ce que la psychanalyse a mis en lumière. Le symptôme naît d’un conflit intra-psychique donc sa lecture ne peut se faire qu’au cas par cas, quand bien même il y a une grille de lecture des symptômes qui peut être mise en avant. C’est au psychothérapeute et au psychanalyste de se repérer en terme nosographique mais l’important pour l’être qui souffre est de pouvoir dénouer les symptômes qui le font souffrir. Et peut important le nom de ce symptôme ou de ce trouble, l’important est comment cet être le nomme et ce qu’il peut en dire car ce que la parole à nouer, la parole peut le dénouer et c’est l’effet escompté par l’être qui vient rendre visite à un psychothérapeute ou un psychanalyste.